Louane – On etait beau

La chanson originale est en Sol, nous la jouerons en La ici pour s’adapter à la voix des chanteurs que nous accompagnons.

La grille d’accords

La mélodie

L’arpège suivant peut être répété tout au long de la chanson.

Pour entendre la différence voici la version originale en Sol.

 

Et voici la version que nous jouerons en La (1 ton plus haut donc)

 

Voici l’arpège en question :

 

 

Le plan

 

La chanson

Cette version complète est modifiée en La comme la version que nous jouerons.

 

Les paroles

Sur les trottoirs je pense à toi
Sur les boulevards je pense à toi
Dans la nuit noire je pense à toi
Même s’il est tard

Sous les réverbères je pense à toi
Dans la lumière je pense à toi
Tous les hémisphères je pense à toi
Sous la poussière

On était beau
Pourtant on accélérait sans freins
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien
On était beau
Souvent, quand on souriait pour rien
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien

Je me réveille je pense à toi
Encore sommeil je pense à toi
Trop de soleil je pense à toi
C’est plus pareil

En funambule je pense à toi
On me bouscule je pense à toi
Si je recule je pense à toi
J’suis ridicule

On était beau
Pourtant on accélérait sans freins
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien
On était beau
Souvent, quand on souriait pour rien
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien

Je suis désolé je pense à toi
Presque obsédée je pense à toi
T’es possédé je pense à toi
Trop fatiguée

Sur toutes les routes je pense à toi
Si je m’écoute je pense à toi
L’ombre d’un doute je pense à toi
Je me dégoûte

On était beau
Pourtant on accélérait sans freins
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien
On était beau
Souvent, quand on souriait pour rien
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien

Tu sais j’étouffe je pense à toi
Quand je découche je pense à toi
Je perds mon souffle je pense à toi
Au bord du gouffre

Encore un soir je pense à toi
J’ai le cafard je pense à toi
Dans le brouillard je pense à toi
Je peux pas y croire

On était beau
Pourtant on accélérait sans freins
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien
On était beau
Souvent, quand on souriait pour rien
On s’aimait trop
Pour s’aimer bien